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ARTICLES.

Aylan, maintenant je connais ton nom (nouveau) de Claude Cognard.

8 septembre 2015, 14:27
 

 texte déposé. eAuteur 6b135

 

 

Aylan,maintenant je connais ton nom.

 

1.   Te voilà, toi, sur la plage,

2.   Le regard dans le sable, sage

3.   Tes cheveux lustrés par le sel

4.   Tes joues humides ruissellent

5.   Tu regardes les vagues. Rage !

6.   Le cœur des hommes demeure trop étroit,

7.   Pour que tu y aies trouvé ta place, toi.

8.   Qui sait, tu aurais été, un Saint où un roi

9.   Égoïstes,les hommes ont décidé pour toi.

 

Serions-nous meilleurs,parce que nous vivons du bon côté ?

 

1.   Comme une feuille portée par la hargne

2.   Comme une vie, que personne n’épargne

3.   Tu as cherché secours au-delà des mers,

4.   Tu cherchais liberté, chaleur et un toit

5.   Mais pas plus que là-bas, personne n’a pris soin de toi.

6.   Ton visage sourit, j’entends encore tes cris

7.   Papa,Maman, vous m’entendez ? je suis ici,

8.   Mais les hommes préfèrent se taire

9.   Ils ont fermé leurs cœurs et ce de tous côtés.

 

Serions-nous meilleurs,parce que nous vivons du bon côté ?

 

1.   Le cœur dressé contre les assauts de la mer,

2.   Désarmés,contre l’océan des misères

3.   En quittant le rivage, vous vous teniez, droits et fiers

4.   Sur des embarcations, des esquifs précaires,

5.   Sous la voûte étoilée, traversée de luisantes épeires

6.   Riant,jouant, dans le vent, à côté de vos pères.

7.   À défaut d’armes de guerre, sur des chemins téméraires,

8.   Existent-ils de plus dignes révoltes, que pour la liberté,

9.   Et devons-nous nous armer pour enfin être aimés ?

 

Serions-nous meilleurs,parce que nous vivons du bon côté ?

 

1.   L’indifférence des bien-pensants a traversé les marées

2.   Tentant par la pensée magique, par réflexe politique

3.   De repousser enfants, parents et autres naufragés

4.   Effrayés par tant de différences et tant de pauvreté,

5.   Préférant tout cacher à la cave ou au grenier

6.   Et décidés à ne surtout rien partager

7.   Invoquant le diable plus souvent que leurs Dieux

8.   Ils se montraient déjà prêts à leur dire adieu.

9.   À les repousser comme à des pillards belliqueux .

 

Serions-nous meilleurs, parce que nous vivons du bon côté ?

 

1.   J’ai vu des enfants sages allongés sur les plages

2.   Et la mer langoureuse les border pour toujours

3.   Oubliant de poser sur leur front des baisers mouillés

4.   J’ai aperçu des enfants sages en salopette bleue

5.   Endormis sur les rivages de nos pensées cultivées.

6.   Dans le miroir de la misère, j’ai perçu les conflits

7.   De nos belles consciences et de nos peurs aussi.

8.   Nous préférons le confort de nos héros de séries

9.   À la vérité diffusée sur l’ardoise crayonnée de la réalité.

 

Ne nous croyons pas meilleurs, parce que nous vivons du bon côté

 

 

1.   Ce soir, l’autre existe derrière mon miroir,

2.   Espoir !nous y observons notre ombre ou la lumière,

3.   Nous y trouvons ce que nous craignons ou aimons…

4.   Fuir l’ombre ferme nos consciences, éteint le soleil

5.   Mets en veille, idées, richesses et merveilles

6.   Les déserts, les accablements, nous appartiennent,

7.   Montrons nous nus, exhibons nos générosités

8.   Ce qu’ils sont, avons-nous oublié que nous l’avons été ?

9.   De la terre, nous ne sommes que les locataires…

 

Ne soyons pas amers,partageons, puisque nous vivons du bon côté

 

1.   La tornade des cœurs restent plus redoutables que celle de la nature

2.   Et si les cœurs demeurent purs alors, tout devient possible et sans rature.

3.   Silences,souvenirs, usures, murmures, chut les enfants dorment c’est sûr !

4.   Aylan,Mohammed, Pierre ou peu importe ton nom enlève ton armure

5.   Sur tous les continents, on vous tend les bras, on vous attend !

6.   J’entends des cris, des pleurs des rires, ce sont bien des enfants

7.   Noirs,jaunes, blancs, peu importe ta couleur, venez dans nos cœurs

8.   Peu importe les idées, la religion sur cette planète, bienvenue ici

9.   Nous sommes les invités de la terre, et pas ses propriétaires !

 

 

 

 

 

Claude Cognard 08.09.2015 texte déposé
MISE EN MUSIQUE : 
Mikael Paranthoen 

1.                 Passion figée.

 

Tu as semé dans la glaise de ma mémoire,

Les graines de ton amour, que la fraîcheur du soir,

Est venue arroser de perles de rosée.

Tu es partie... Elles ont germé... Ont feuillolé,

Puis, ont grandi... Enfin se sont épanouies,

En larges bouquets de larmes et de poésie.

 

Souvent les yeux rivés sur les carreaux cireux,

Au moindre bruit de pas, je te croyais ici.

Et, ému, la plume tremblante enter les doigts,

Réprimant à grand’peine mon délire amoureux,

Je crayonnais des vers en ne songeant qu’à toi.

 

Au Sablier des nuits coule ma solitude,

J’aimerais stopper le temps et inverser son cours,

A l’horloge de mes actes s’inscrit la platitude,

J’aimerais me figer, pour sauvegarder l’amour,

Qui circule en mon âme et que mon coeur dépense,

A battre en silence exigeant ta présence.

 

Demain, l’esprit transi, je confierai mes voeux,

Au vent glacé d’hiver qui aura étouffé,

la lumière et le feu de mes espoirs pour deux.

Un jour peut-être, reviendras-tu embrasser,

La neige et le froid sur mes tempes givrées...

 

Je serai encore au coin de ma fenêtre,

A méditer-là, les écrits et les lettres...

... Les cendres froides de ma passions immaculée...

Jamais ! Je ne regretterai la témérité,

Qui m’a fait t’aborder, O douce fée,

Un certain jour de langueur et d’été...

 

(Ce texte a reçu la Mentionspéciale Centre International des Arts et des lettres)

 

Publié sous le pseudo de John Stratford.

Claude Cognard.

 

L’atelier 

 

A l’atelier de ta beauté

J’ai posé mes outils, mes gemmes et mon tablier,

Pour te créer, un majestueux collier de joyaux,

D’amour, de tendresse et d’amitié.

J’ai pris les plus vifs grenats

Pour donner à tes yeux le plus réel éclat.

 

A l’atelier de ta divine tendresse,

J’ai posé mes livres, mes poèmes et mes presses,

Pour étaler là, en perles de lettres, sur un délicieux cahier,

Des poèmes sans fin, de lumière et de riches satins,

Et t’offrir un peu de vent, un peu de temps,

Pour exposer à tes oreilles le plus beau des refrains.

 

 

A l’atelier de ta générosité,

J’ai déposé mes brosses assoiffées de couleurs,

Pour peindre tes cheveux sur tes épaules nues

Et colorer les désirs que ton image suscite,

Aux mondes des humains, à celui des artistes,

Et te dévoiler, toi, la belle ingénue.

 

A la forge de ta jeunesse,

J’ai soufflé sur les braises de tes richesses,

Pour enflammer encore mon esprit éperdu

Par des années d’efforts vains et saugrenus

Et toi, l’enfant des espoirs perdus,

Par tes sourires magiques, tu m’as répondu.

 

A l’atelier de ta beauté

J’ai posé mes outils, mes gemmes et mon tablier,

Pour te créer, un majestueux collier de joyaux,

D’étincelles d’argent, et de fascinants diamants.

Pour réveiller le ravissant écho de tes rires princiers,

Et te faire entendre toi, la fille des émaux.

 

 

A l’atelier de l’esprit,

Comme des fleurs multicolores,

Comme un arc-en-ciel sur l’azur de la vie,

Tu rayonnes divine, comme une perle fine.

La mer te raconte, aux roches, à la flore,

Et tu pleures enfin comme une douce résine.

 

A l’atelier de ton âme,

J’ai habillé ton être de pierres précieuses,

D’émeraudes, de Rubis, et de poignants saphirs,

Reflets, d’opulence, habillant ton désir…

Tu brilles et tu scintilles, chaque jour un peu plus,

Et mon œil inconscient imagine être seul, lui,

A deviner ta candeur et ta fulgurante ardeur.

 

 

Claude Cognard sous le pseudo de Claude Pierre. 

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